Professionnel(s) mentionné(s)
Associé, Droit des sociétés, Toronto
Signe inquiétant pour la croissance économique canadienne, la valeur combinée des ventes de nouveaux titres de sociétés canadiennes a chuté de 74 %, passant de 6,8 milliards de dollars au troisième trimestre de 2023 à seulement 1,8 milliard de dollars pour le troisième trimestre de 2024, ce qui constitue le total trimestriel le plus bas en plus de 25 ans. Pour certains acteurs du secteur, la faiblesse de l’activité boursière est attribuable en partie au maintien de taux d’intérêt élevés. Maintenant que la Banque du Canada a commencé à réduire ces taux, beaucoup s’attendent à un redressement des marchés boursiers.
Jeremy Fraiberg, cochef du groupe Fusions et acquisitions d’Osler, a indiqué au Globe and Mail que les activités de fusions et acquisitions avaient également chuté depuis le début de l’année, mais qu’il s’attendait à ce que la baisse des taux d’intérêt contribue à un redressement de ce secteur de l’économie.
« Il pourrait s’agir d’un point d’inflexion », a indiqué M. Fraiberg. « Le marché semble encore un peu chancelant, mais les facteurs fondamentaux et le nombre de transactions prévues semblent présager une reprise des activités. On peut même s’étonner que cette reprise n’ait pas encore commencé. »
Pour lire l’article complet sur le site du Globe and Mail (en anglais), cliquez sur ce lien : « Canadian stock sales plunge to lowest level since 1998. »
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