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Associé, Droit des sociétés, Toronto
Il reste encore des transactions à conclure en 2024, malgré la lenteur de la première moitié de l’année. C’est du moins l’opinion consensuelle recueillie par Gail J. Cohen, qui a interviewé un certain nombre d’avocats pour un article pour ALM Law.com, notamment le cochef du groupe Fusions et acquisitions et associé d’Osler Alex Gorka.
M. Gorka souligne que le secteur minier en est un qui a été vigoureux cette année, notant qu’environ 35 % des transactions conclues jusqu’à maintenant en 2024 l’ont été dans ce secteur. Les transitions continues vers l’énergie propre et les véhicules électriques sont susceptibles d’encourager la conclusion de transactions liées à l’exploitation minière.
Peu importe le secteur, M. Gorka dit qu’il existe un facteur qui devrait aider à stimuler les transactions au Canada, soit la faiblesse du dollar canadien par rapport au dollar américain. Les taux de change étant ce qu’ils sont actuellement, il s’agit « d’un moment opportun pour les acheteurs américains ici ».
Il fait également remarquer que le capital-investissement est plus actif qu’il ne l’a été récemment. 30 % des opérations publiques de fusions et acquisitions cette année ont été parrainées par du capital-investissement, soit une augmentation de 10 % par rapport à la tendance historique.
Selon M. Gorka, bien que les équipes de fusions et acquisitions ne soient pas en position aussi difficile qu’en 2021 et 2022, l’année a été suffisamment solide pour que son équipe d’Osler ait récemment embauché de nouveaux sociétaires au bureau de Toronto.
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