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Associé, Droit des sociétés, Toronto
La pandémie et ses retombées économiques ont contribué à renforcer l’activisme actionnarial, déclare Andrew MacDougall, associé d’Osler spécialisé en droit des sociétés, dans une interview accordée au Financial Post.
« La pandémie a été un test décisif pour les équipes de direction de la plupart des entreprises et certaines d’entre elles ont mieux résisté que d’autres à ses effets », explique Andrew. Les entreprises dont le rendement est inférieur à celui de leurs pairs dans leur secteur ont été mises en évidence pendant la pandémie, et ces entreprises sont désormais la cible des investisseurs institutionnels, même de ceux qui ne sont pas connus pour leur attitude militante
« Je pense que Warren Buffett avait raison quand il a dit : “Ce n’est que lorsque la marée descend que l’on découvre qui a nagé nu” », affirme Andrew.
Il s’attend à ce que les niveaux d’activisme augmentent cette année, ajoutant que la vigueur générale des marchés boursiers au cours de l’année écoulée a rendu les actionnaires institutionnels « moins indulgents » lorsqu’il s’agit de donner aux conseils d’administration et à la direction le temps de remédier à un rendement décevant.
Lisez l’article complet dont Barbara Sheeter est l’auteur, publié le 11 février 2022 (en anglais seulement)
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